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Camp de ski à Arolla

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Dimanche

Dimanche matin, le départ prévu à 7h00 est repoussé à 7h45 à cause des mauvaises conditions métérologiques. Une fois partis, nous mettons une heure pour traverser les Gorges de Moutier. Le voyage est long, même très, très long. Arrivés à Arolla après une très longue ascension, nous sommes tous dehors très impatients d'entrer dans le chalet. Il fait très froid. Après s'être installés confortablement, nous pouvons quand même faire quelques descentes de ski alpin. Ensuite, nous prenons chacun une douche et c'est là que nous nous rendons compte que le plafond n'est guère étanche.

Organisée par la classe 811, c'est la soirée COCKTAILS. Le but est de faire un excellent cocktail. Mais ce n'est pas vraiment bon! C'est plutôt le concours du cocktail le moins bon. Mais les monos ne trouvent pas ça si mauvais. Les meilleurs cocktails sont retenus pour la soirée casino de mercredi, même si la plupart ont un mauvais goût. Après, nous allons nous coucher, en vue d'une super journée de ski. Le temps sera médiocre mais la neige excellente. C'était une super soirée, on a bien rigolé.

Louis et Loïc

Lundi soir

Le lundi soir est organisé par les 812. Cécile chante «I will always love you» et ... termine sous les applaudissements de nous autres, spectateurs. Ensuite, des bras de fer se déroulent avec pas mal de succès. Les garçons comme les filles peuvent exposer leur force, certains avec fierté, d' autres moins.

Plus tard, c'est le jeu de bâton, qui consiste à tourner autour pendant environ une minute, puis à chercher un objet au milieu de la salle, avant son concurrent. Les participants tournent tellement sur eux-même qu'ils finissent par tomber. Nous en avons bien rigolé.

Ensuite vient le jeu de la chaise musicale. Les joueurs sont liés deux par deux par une corde. Les chutes sont bien nombreuses !!! A la fin de la soirée, Monsieur Hager permet aux élèves qui en ont envie, une disco. On peut dire de cette soirée qu'elle s'est vraiment bien passée. En fin de compte, on s'est bien amusés.

Aida et Céline

Mardi

La soirée organisée par la classe 813 débute par un jeu d'obstacles, par groupe de trois, dont chaque participant doit faire une étape. La première consiste à raser un ballon puis à le faire péter. Dès que le premier participant a terminé, le second doit commencer la deuxième étape. Elle consiste à attraper une poire à l'aide des dents, dans un bol rempli d'eau. Pour finir, le dernier participant doit essayer de trouver un objet dans un bol de farine : il doit souffler dans le bol pour ôter la farine et apercevoir l'objet, et ensuite le ramasser à l'aide des dents.

Le deuxième jeu est une crêpe-party. Il y a deux équipes de deux. Chaque participant doit préparer sa crêpe, la sucrer, la manger puis faire un parcours d'obstacles la bouche pleine : monter sur une table, sauter sur une chaise, toucher un mur, revenir et taper dans la main du suivant.
La soirée aura été assez amusante mais très salissante ! Elle se termina par un moment de danse !!

Javier et Etienne




CASINO
Mercredi soir

Pour cette soirée, les couples sont tirés au sort. On va se préparer. Filles et garçons se baladent dans le chalet pour trouver son ou sa partenaire, et discuter avec pour savoir comment faire son entrée ! On arrive par couple à l'entrée du casino, en se tenant par le bras. Les professeurs et les moniteurs ont décoré toute la salle; il y a des tables pour les jeux, des lampes de couleurs, de la musique, un bar avec trois barmans et tout le monde est habillé très classe. A l'entrée, Gilian nous donne notre argent en fonction de notre habillement. Et il fait des commentaires au micro du genre : «Oh ! Elle a pas de chaussures, 1000 fr. en moins» ou «Pas mal, la cravate, 2000 fr.».

Maintenant que tout le monde est là, les jeux commencent. Il y a la roulette, le joker, le poker, le poker de dés, le black-jack et la machine à sous. Les jeux sont tenus par les moniteurs. Yan qui tient le poker de dés est ruiné par des élèves. Il doit jouer au black-jack et demander de l'argent à la banque pour en avoir de nouveau. Tout le monde joue, boit des cocktails, rigole, regarde les autres jouer, parle et surtout s'amuse.

Vers 23h, le directeur du casino, M. Hager, nous annonce que le casino ferme. Il y a alors une pluie de billets ! Tout le monde les lance en l'air, c'est magique. On danse jusqu'à minuit sur un tapis d'argent. Pendant que quelques-uns nettoient, on va se coucher. Extinction des feux, quelques chuchotements, et puis plus rien.

On se souviendra toujours de cette soirée.
Merci aux organisateurs

Morgane et Johanna

Le jeu de piste

Le jeudi matin, nous n'allons pas skier. Par groupe, nous faisons une sculpture sur neige, figurative et d'au moins un mètre de haut. Nos sculptures finies, l'activité s'est vite transformée en démonstration de force : nous avons littéralement pulvérisé les monos en les savonnant et en leur faisant goûter la joie de la neige.

Après un bon repas chaud (comme ce fut le cas chaque jour), nous nous rendons sur les pistes pour un parcours par groupe de niveau, le but étant de trouver les cinq feuilles composées de trois questions chacune. Après quoi les monos organisent un concours de sauts acrobatiques, filmé par l'un d'entre eux. Les chutes étaient permanentes pour les courageux concurrents, sauf pour Yan, l'un des meilleurs monos de ce camp.

Après un bon repas bien mérité et un délicieux souper aux choix, nous entamons la dernière ligne droite de ce merveilleux camp à Arolla. En début de soirée, Mr. Nussbaumer nous communique les réponses aux questions du parcours sur pistes. Les résultats sont encourageants pour toutes les équipes qui continuent à rêver du titre de meilleur groupe.

Nous poursuivons la soirée par les dictons de la semaine où Gaston

se fait remarquer avec un dicton sorti de nulle-part :''Les camps à Arolla, c'est super !''. Nous enchaînons avec d'autre animations amusantes, notamment une photo figée, dont celle d'un groupe qui a mimé le nom d'Arolla, très bonne idée, et un défilé de mode d'hiver 2006 qui suscite l'enthousiasme avec un groupe en raquettes. Pour finir, des chansons inventées par les groupes, sur l'air de «Santiano», que certains monos n'apprécieront guère.

Pour clore cette enrichissante soirée, il aura fallu l'emploi de la force par des monos pour obliger certains garçons à danser. Enfin, vers minuit, tout le monde va se coucher pour la dernière nuit à Arolla.

ALBION ET JULIEN R






VENDREDI

Le soir avant, Monsieur Hager demande qui veut participer aux nettoyages du chalet. Comble du comble, presque tout le monde veut nettoyer ! Donc nous ne sommes que quatre élèves pour les raquettes et une dizaine pour le ski et le snow.

LES RAQUETTES :
Aude, Céline, Ivana et Marie-Jeanne partent à l'aventure avec David. Nous montons tous jusqu'à la buvette de la Chotte avec bien des efforts ! Comme elle n'ouvre que plus tard, nous passons notre temps avec une bataille de boules de neige (nous toutes contre David !). Ensuite, nous entendons les aboiements du patron... non, du chien du patron, qui arrive enfin à la buvette. Nous entrons donc et nous commandons des boissons, nous jouons aux cartes. Pendant ce temps, les autres nettoient agréablement le chalet. Dès qu'ils ont fini, ils doivent sortir pour nous attendre, nous, les raquetteurs, pour manger. Nous redescendons, congelés mais heureux.

LE SKI ET LE SNOW :
C'était un peu «brouillon», d'après certains élèves. Tout le monde faisait ce qu'il voulait. Ensuite, ils se sont séparés en deux groupes. Un accident à noter : Loïc s'est cassé le poignet en sautant. Ils sont rentrés bien avant les raquetteurs.

LE RETOUR :
Nous mangeons des sandwichs préparés par les élèves du nettoyage. Dès que nous apercevons le car, nous nous précipitons avec nos bagages... pour ensuite se faire gronder par Monsieur Hager qui nous avait dit de ne pas «paniquer». Un quart d'heure plus tard, nous nous trouvons enfin dans le car et au chaud!

Céline, Ivana et Marie-Jeanne

SKI - Groupes 1 et 2

Une semaine de ski à Arolla, c'est rigolo !

Déjà que ça tombe souvent quand on fait la piste noire, alors, quand on ne voit pas grand chose, que c'est un jour blanc, les gamelles sont encore plus belles.

Sur ces fameuses assiettes, ça rigole : pour s'amuser, tout le monde lâche ses bâtons, même quelquefois des skis que les prochains du groupe ramassent. Et pourtant, jamais personne ne tombe du tire-fesses. Au bout de 3 ou 4 jours, quelques snowboardeurs, skieurs et moniteurs construisent un superbe saut, qui amène beaucoup d'adrénaline. Un petit malin de moniteur prend sa caméra pour filmer les chutes, dont un magnifique plongeon d'Olivier, le moniteur de snow qui essaie une drôle de figure. Le soir même, nous voyons le montage qu'il avait fait avec beaucoup de finesse. Tout le module a apprécié ce petit film.

Célien et Emmanuel

Le ski - Groupes 3, 4 et 5

Sur les pistes, c'est vraiment extra, on rigole bien avec le groupe 4. Le mono est vraiment sympa, même si on a quelques petites difficultés pour rentrer au chalet le lundi à midi : ils se sont trompés et nous font descendre une piste noire en croyant que c'est une bleue ! Au début, on descend sur les skis, mais à la fin soit ils nous portent soit on descend sur les fesses... On finit quand même par arriver au chalet ! Jeudi, on fait un jeu de piste à ski et on s'amuse vraiment bien ! Les débutants ont plus de mal à descendre ces pistes, mais ils y parviennent tous, finalement.

Il y a du soleil tous les jours et les conditions pour skier sont vraiment super, sauf le mercredi. Mardi, Laure tombe du téléski. En voulant se mettre sur le bord pour ne pas gêner ceux qui montent, elle tombe dans une congère de poudreuse. Plus elle essaie de sortir plus elle s'enfonce. Monsieur Hager vient l'aider à sortir de la neige (elle en a jusqu'au ventre), il met un bon moment à la sortir de là et enfin, ils peuvent redescendre au chalet...

Laure et Lorène


Le snowboard

Le dimanche après-midi, Mathieu et Lorène vont au baby-lift alors que le groupe avancé monte en haut du «Remointzé». Les premières difficultés rencontrées sont le dérapage, les virages, les remontées mécaniques. Le lundi, le groupe fort monte aux 3000 alors que le groupe débutant reste en bas. Mardi, les avancés font un champ de poudreuse où Lucas tombe tellement de fois qu'il préfère redescendre. Joël en fait de même à la descente suivante. Les débutants montent au «Remointzé».

Le mercredi matin, la visibilité est de zéro. Heureusement, cela s'améliore tout au long de la journée.

L'après-midi , plusieurs groupes se réunissent au bord du sixième pylône des «Fontanesse». Cause du rassemblement : la construction d'un énorme saut. Le jeudi matin, nous faisons une sculpture sur neige suivie d'un jeu de piste. A la fin de celui-ci, quelques volontaires reconstruisent un saut tout aussi haut, et 45 minutes après la fermeture des pistes, un pistard furieux nous ramène jusqu'à l' hôtel «Le Panorama».

Le vendredi matin, Julien S tombe des assiettes en plein milieu du grand «reck». Loïc qui a pris le snowboard d'Olivier fait une mauvaise chute, et se casse le poignet. Ce sera la seule blessure du camp.

Julien, Mathieu

Les anecdotes du camp

En camp de ski, il y a quelque chose auquel on n'échappe pas : les savonnées. Les monos l'ont découvert à leur dépens, le jeudi matin, lors du concours de statues de neiges. Durant la moitié du concours, les monos ont sûrement dû recevoir une dizaine de kilos de neiges à eux seul. Ils ont dégusté.

Ce que les levers sont durs en camp, très durs. Mais le dernier jour ne fut pas difficile, car les monos nous ont réveillé à grands coups de louches sur des casseroles en métal. Quel réveil !

Le ski a beau être un sport simple, il faut se souvenir des mouvements. Aida, qui débutait en ski, ne l'a pas tout de suite compris. En descendant une pente pour rentrer au chalet, elle demande : «Comment fait-on pour s'arrêter ?». En voilà une bonne question ! Mais comme toujours, tout finit plus ou moins bien : elle a eu l'idée de se jeter par terre. Ce qui fut une bonne idée et il n'y eut pas de casse. Je n'aurais peut-être dû le dire, cela, car moi aussi je suis tombé et plus que trop. Mais bon, nous étions en camp de ski pour nous amuser.

Bastien

L'équipe de cuisine : Nicole Berret et "Pico" Raymond Schneider, dont ç'aura été le dernier camp...

Merci aux collègues accompagnants :
Marie Poupon et Simon Nussbaumer.

Et aux moniteurs :
Yann, Olivier, Romain, Julian et David !

#VALEUR !



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